this ends with a sister hitting her brother [r/elyott]

- don't be fooled by his angelic face, it hides a demonic smile only those who knows him can see -
ava + elyott: pt i.

La jeune Massino manque recracher l'entièreté de son petit-déjeuner quand elle reçoit via une de ses amies actrices, le mot d'invitation à une fête. Si en premier lieu elle veut engueuler son cadet, seul frère puisque ses parents ne l'ont jamais écouté et au lieu de lui offrir une soeur lui ont dit de garder son petit frère, elle décide qu'elle ira tout simplement le tuer lorsqu'elle lit le contenu de la dite invitation. Une fête de visionnement pour Stalker, aka le film dans lequel elle porte à moitié rien - une mini jupe et un crop top de cheeleader - et meurt d'une atroce blessure fait au coup de couteau. Scène qui lui prit une nuit entière à se faire frapper le dos avec un faux couteau, pas un de ses meilleurs moments en tant qu'actrice. Et pourtant, le petit morveux s'amuse à lui mettre le nez dedans, à la frotter contre la réalité qui veut que lui, le plus petit et maladroit des Massino se voit offrir un rôle gigantesque alors qu'elle, l’ambitieuse et charismatique, soit voué à jouer des rôles éphémères pouvant se résumé à de simples caméos. La belle fronce les sourcils et répond à son amie "definitely crashing". Car s'il pense qu'elle le laissera faire une fête sur le thème de son film sans qu'elle ne se présente pour faire baver tous ses amis, il se met le doigt dans l'oeil, le petit Elyott. Ava fait le tour de sa garde robe, cherche ce qu'elle pourrait mettre et opte pour un jumpsuit avec un col en v révélateur qui ferait certainement loucher un certain chef culinaire. La première née - car oui, elle est née la première et ainsi, détient le droit premier d'avoir une carrière qui fonctionne, montante en flèche - se dirige en direction de l'appartement de son frère, qui heureusement, ne vit qu'à deux coins de rues de la sienne. La starlette profite de ce moment pour exhibitionner ce que ses économies de mannequin lui ont permis d'acheter; une magnifique Lamborghini blanche convertible. Elle arrive au complexe avec un large sourire, déterminée à donner une leçon à son frère de la pire façon possible, n'ayant pas encore d'idées, la belle verra sur le moment. L'aînée des Massino entre dans le complexe d'appartements et arrive à la porte d'Elyott, ne se faisant pas prier pour entrer, ouvrant la porte à la voilée pour se faire savoir. Le sourire machiavélique d'une soeur afficher, ses cheveux balayés par le vent, la vision pourrait la faire rire de bonheur, mais elle reste stoïque, entre, referme la porte et fait un léger coucou à son frère. - Elychou, viens faire un câlin à ta soeur. Dit-il avec un peu trop d'entrain, ses lèvres formant une esquisse maline.

Un sourire amusé se dessina sur son visage lorsqu'il appuya sur envoyé. Il venait d'envoyer à tous ses contacts une invitation à une soirée chez lui pour visionner le film Stalker. Le film où sa sœur se retrouvait à moitié dénudée et assassinée à coups de couteau. Un vrai massacre qu'il voulait ré-affiché au yeux de tous rien que pour enquiquiner sa sœur adorée. C'était l'un de ses passes-temps favoris surtout parce qu'elle réagissait à chaque fois de la même manière. Elle se mettait en rogne et lui faisait payer ce qu'il avait oser faire. Un cercle vicieux entre frangins et frangines, un cercle tout à fait normal chez les Massino. Il jubilait comme un gosse avant Noël. Il prépara une tonne de pop-corn avant que les premiers invités sonnent à la porte. Il sauta pieds joints et ouvra la porte en grand pour inviter le monde à entrer dans son appartement. - Installez vous. Il y a du pop-corn et je ne vais pas tarder à lancer le film. - S'exclama-t-il en sautant sur la table basse de son séjour pour faire l'annonce à tous et toutes. Il se laissa tomber sur son canapé en discuta un instant avec des amis. Il savait que Ava avait certainement eu gout de sa petite soirée privée. L'information circulait rapidement à Beverly Hills et il le savait que trop bien. Il attrapa la télécommande de son plasma et appuya sur play. -C'est parti! - Toutes les personnes présentent savaient pertinemment pourquoi tout ça réjouissait le jeune Massino. Ils avaient tous vu le film et ils savaient ce qu'il arrivait au personnage de l'ainée de la famille.  Un rire collectif résonna dans l'appartement. Il compta à voix basse lorsqu'il reconnu le son d'une Lamborghini se garer non loin du complexe d'appartements. 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8.. Quelqu'un entra sans même avoir l'obligeance de frapper. Il tourna sa tête vers la porte d'entrée avec un sourire montrant toutes ses dents, un air bien malin sur le visage. C'était bien évidemment une certaine grande sœur qui ne montrait aucun signe de colère, mais le son de sa voix ne signalait rien de bon pour Elychou.  -Pas le temps pour les câlins. Je vais rater la scène que je préfère. Viens on va la regarder tous ensemble.   - De nouveau éclats de rire s'échappèrent alors qu'il resta assis en faisant de la place à sa sœur pour qu'elle vienne se joindre à la petite soirée. Après tout c'était en son honneur.    

Elle veut le tuer, dès qu'elle entre dans cet appartement, elle a l'envie irrépressible d’assommer son frère. Quoique, depuis sa naissance, elle redoute qu'il respire, qu'il parle, qu'il marche. Il lui casse sérieusement les couilles, car, soyons clair, entre les deux Massino, Ava en possède beaucoup plus que lui. Un large sourire passe sur ses traits quand il parle de regarder la scène où elle meurt. Oh, il ne durera pas bien longtemps, à vouloir l'humilier aussi publiquement. - En espérant que tu es encore ta couche, la dernière fois que tu as regardé un film d'horreur, tu as dormi avec maman pendant deux semaines. Tu avais quand même dix-neuf ans, Ely. Dit-elle à voix haute pour se venger de son frère tortionnaire. Elle ne réussirait pas à gagner, Ava, et elle le sait. C'est pour cette raison qu'elle roule les yeux et vient prendre place sur le sofa. - Et puis, même si je meurs, au moins j'ai joué dans un film. Tu peux en dire autant? Elle utilise la méchanceté, l'actrice et grande soeur, mais elle ne fait que prendre une page du livre d'Elyott. Elle prend le bol de popcorn, et enfourne quelques bouts de maïs dans sa bouche, observant l'écran et non son frère. - J'ai appris à manié le couteau pour cette scène. C'était génial de faire les cascades. Bien évidemment, elle se vente, car quoi faire de plus dans cette situation. L'aînée a apprit à apprécier son rôle et est reconnaissante de ce fait. Tous les grands se font tuer en début de film, que quiconque ose dire le contraire. Elle a apprit à ne plus se fâcher, à se sentir provoqué par son stupide frère qui décroche les rôles avant elle, qui se fait littéralement offrir sur un plateau d'argent des rôles qui la font saliver. Elle est presque jalouse, car Ava a tracé un chemin pour lui, en mettant le nom des Massino sur toutes les lèvres. Et maintenant, il s'amuse à lui voler la vedette, et le concours pour le premier qui reviendra avec une statuette est lancé. Ava a bien l'intention de rapporter un Oscar pour prouver à sa famille de quoi elle se chauffe. Oh et puis, tant qu'à s'humilier les uns et les autres. - Oh, j'ai vu ses articles sur toi et la Keen. Joli catch frèrot. Sourire professionnellement narquois sur le visage elle tend le bol de popcorn à un de ses amis pas très impressionnée par lui. Elle a déjà vu mieux dans sa vie, que des nerds minces quoi. Par exemple un certain chef cuisinier. - Ely, ta scène préféré! S'écrit-elle en voyant que le tueur commence à la chasser à l'extérieur, sachant que dans à peines deux minutes dix-huit, elle sera morte.

Un sourire carnassier, ce sourire dont la Massino use lorsque le benjamin l'enquiquine, lui casse les bonbons. Lui aussi continuait de sourire avant qu'elle énonce le fait qu'il ait dormi avec leur mère après avoir regarder une film d'horreur. C'était pas sa faute. La petite dame vêtue de blanc fichait vraiment la frousse. Le monde autour d'eux était à l'affut de la gué-guerre des frangins. Qui allait marqué un point? Qui allait surenchérir. Des rires s'échappèrent des lèvres. Ava s'approcha et il lui susurra un mot à l'oreille. -Tu ne gagneras pas et tu le sais très bien. Bien joué cela dit. - Elle continua malgré tout à lui lancer des piques aussi sanglantes que les scènes du film. -C'est vrai, tu as joué dans un film, mais il ne t'a pas amené grand chose.. Est-ce que tu as eu une récompense pour cette mort théâtrale?   - Et toc! Il le savait très bien qu'on ne gagnait pas quelque chose pour une scène pareille, mais il lui craché en pleine face était tout à fait jouissif. Il était vrai qu'il n'avait pas encore joué dans un film, mais cela ne saurait tardé. La méchanceté était au rendez-vous, mais c'était tout à fait normal chez eux. C'était de l'amour vache. Elle enfourna quelques pop-corn dans sa bouche sans lui lancer de regard. Il ria amusé de cette bataille qui ne faisait que commencer. Il n'avait pas dit son dernier mot.  -Intéressant.. Je suppose que tu as aussi appris à crier parce que je trouve que tu imites très bien le cri du porc qui se fait égorgé..   - Il en rajouta des tonnes et cela fait bien rire ses amis qui sont presque à se rouler par terre en attendant les nombreuses conneries qu'il lâchait à la minute. Elle riposta parce qu'elle était tout de même tenace. Il fronça les sourcils et lui lança presque des éclairs lorsqu'elle osa prononcer le nom Keen.  -Merci sis. J'espère que ton chef bien aimé se porte bien..    - Elyott, un fouineur? Non pas du tout.. Il avait mener son enquête le frangin. Il disait que c'était pour son bien et qu'il voulait la protéger des vilains hommes. Il y avait du vrai là dedans. C'était surtout pour pouvoir l'agacer encore plus. Il se tourna vers l'écran lorsqu'elle s'écria que la scène tant attendue allait passé à l'écran. Il regarda avec attention. Un silence s'installa alors que toutes les personnes présentent l'avait déjà vu. Deux minutes dix-huit passées, le personnage que jouait sa sœur était bel et bien mort.  -Je dois quand même applaudir la performance digne d'être récompensé aux Oscars.  - Il tapa dans ses mains et ses amis le suivirent comme des singes, des pantins dont il était maître des ficelles. Il se demandait bien combien de temps elle allait encore tenir avant de l'attraper et de l'enterrer vivant. Courir vite était la seule et unique solution.