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 ten years after: a reunion [r/via]

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Lowell Brekker
the sun, the moon, the stars.
Lowell Brekker

in beverly hills since : 14/06/2018
gossip sent : 13
faceclaim : matthew daddario (© lichou)
multitasker : ava the actress, candy the young decorator.
pseudo : witchling, clau.
age : thirty-three yo.
work : co-chef of 'the grande style' in los angeles. just came back from an internship in france.
relationship : lord, show me how to say no to this.
wishlist : have his cooking romance published, and a cooking book with castiel, convince him first, buy an iphone to be "trendy", get jacked to pull in the girls (won't happen, cas is too god damn good looking).

PERSONNAL IDENTIFICATION
address: lives with his long-lost best friend, via.
overdue phone contact:
rps + language: [32ouvert] fr, eng.


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Message() Sujet: ten years after: a reunion [r/via] ten years after: a reunion [r/via] EmptyDim 17 Juin - 2:46


- my soul? a broken harmony that hops over its dementia on the cushion of time -
lowell + via: pt i.

Il s'ennuie, Lowell, de la France, de cette partie idéale gastronomique du monde, de se réveiller sous les "bonjours" des habitants français, de goûter à des desserts qui rendraient Castiel jaloux à coup sûr. Mais revenir à la maison est devenu une besoin que tout son corps lui dicte de faire, car l'homme a besoin de la maison, de stabilité, mais surtout Paris est devenu une ville lourde et avide de sens. Voir des amoureux se tenir la main, s'embrasser, visiter la tour Eiffel, parler dans de doux mots français. Il soupire à la simple pensé qu'il doit retourner chez lui. Sauf que Lowell est stupide. Une bulle lui a probablement péter en pleine canicule d'été pour qu'il décide de tout plaquer - sauf le restaurant qu'il a, heureusement, laisser entre de bonnes mains, certes, il verra les dégâts à son retour officiel - ceci comprenant son appartement. L'homme réussi par l'intermédiaire d'un ami d'un ami de la famille, à obtenir l'adresse de Via Ridder qui, étonnement, habite dans la ville juste à côté de la sienne. Lowell adore Los Angeles, mais pour des raisons évidentes - le service de traiteur qui se développe à Beverly Hills et l'envie de Lowell d'élargir leur branche dans cette ville, de servir des plats à des célébrités, des personnes influentes, de se faire connaître encore plus - il habitait à Beverly Hills, malgré son amour pour la ville voisine. Le Brekker se rend donc, comme un idiot, chez son amie d'enfance afin de réclamer logis, ou presque. Il n'est pas stupide, le petit, il l'a d'abord contacter via un email, n'ayant pas son numéro de portable. Il est donc devant sa porte, boîte de macaron rose en main - duh - nerveux comme tout, ses nerfs manquant le lâché. Backstory rapide sur eux: depuis sa tendre enfance, Lowell est amoureux d'elle, simple et dur. Il n'y a qu'elle, il n'y a jamais eu qu'elle dans sa vie, que ce soit au lycée, quand les filles défilaient et le priaient pour savoir quelle fille il emmènerait au bal. Il eut envie de crier "Via" mais il se retenait, toujours un peu plus. Ses parents - adoptifs, certes, ses parents tout de même - n'arrêtaient pas de lui dire de foncé avant qu'ils ne se perdent de vu. Malheureusement, le tout arriva, et ses parents décédèrent beaucoup trop rapidement, son père et sa mère quittant son univers à seulement deux mois d'intervalle avant qu'il ne quitte pour la France, pour se changer les idées, pour se changer d'air. Bien sûr, son meilleur ami l'avait appuyé dans cette décision, lui avait dit que, de toute façon, ils pourraient plus facilement obtenir une troisième étoile s'ils pouvaient perfectionner et apporter des éléments français. Lowell avait partager quelques trucs avec lui déjà par correspondance, d'ailleurs. Le Brekker ne parla jamais à Via, pas depuis un très long moment, probablement qu'elle n'avait même pas apprit pour la mort des deux parents Brekker. Il se tient droit, devant la porte, quand celle-ci s'ouvre et laisse entrevoir une Via adulte, grandit, devenue une femme. Sa bouche reste ouverte, il est estomaqué, le petit, ne sait sur quel pied danser, quel geste est le suivant. Il bafouille devant sa beauté qui est encore plus sublime qu'autrefois. Elle garde cette apparence de douceur, de chaleur, comme si le soleil la couvrait de son halo en permanence. - You... you look so... wow. Dit-il alors que lui-même a changé, en auteur, de coupe de cheveux, mais aussi en muscle et en barbe. Il est devenu un homme, et les deux se sont perdu de vue pendant cette étape cruciale. Lowell s'en veut presque, mais se souvient qu'il ne peut revenir dans le passé et seulement avancé du mieux qu'il le peut.
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Via Rider

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Message() Sujet: Re: ten years after: a reunion [r/via] ten years after: a reunion [r/via] EmptyDim 17 Juin - 7:01


- my soul? a broken harmony that hops over its dementia on the cushion of time -
lowell + via: pt i.

outfits — Le sautillement sur le parquet flottant pieds nus émet un bruit affreux, à l’égale de l’affreuse symphonie du gamin du troisième au trombone dérangeant ainsi tout l’immeuble. Heureusement pour Via, elle n’émet pas autant de bruit que l’instrument du diable. Agacée de ne pas arriver à mettre sa sandale, elle finit par tomber sur son lit, son iphone toujours collé à l’oreille. – Listen to me Jackson… I can call you Jackson, can’t I ?  Alors que sa première chaussure est sanglée autour de sa cheville et qu’elle passe à l’autre, Via change le portable d’oreille. – When I tell you today, it's not tomorrow, right? So, if i say you can’t delete this moment in your fucking movie, you can’t !  A peine finit-elle sa phrase, que son interlocuteur est reparti dans ses explications qu’il lui répète depuis plus de cinq minutes. Cela arrache un long soupire à la blonde qui finit d’attacher sa seconde chaussure à son pied. Elle se redresse de toute sa petite hauteur et défroisse son short. – Well Jackson… I was polite until now… You’ll change that fucking script ! I don’t care if you don’t have enough money or something else. My author refuses to delete this scene, so you will keep it, or I promise you, I’ll be your worst nightmare and I’ll ruin you, your career and your fucking movie. A ses mots elle raccorche. Le temps de son petit speech, elle a eu le temps de remettre ses belles boucles blondes, de retoucher son maquillage, de finir de mettre ses affaires dans sa pochette et d’attraper ses clés. Elle se glisse dans son blazer oversize, met son portable dans sa pochette, attrape sa barre protéinée et les deux trousseaux de clés dans le vide poche, puis se dirige vers sa porte d’entrée qu’elle ouvre à la volée. Toujours dans la précipitation, dans cette énergie inépuisable, Via est une tempête, un cyclone, mais alors qu’elle s’élance, elle se stoppe nette pour faire face à un homme. Elle va lui demander ce qu’il lui veut à la regarder, ou plutôt la dévisager, mais les mots ne sortent pas. Ses yeux le détaillent plus. Une mâchoire carrée, une barbe de quelques jours bien entretenue, une musculature saillante sous une chemise bien taillée. Pourtant tout ça lui est inconnu, jusqu’à qu’elle croise ce regard pétillant qui autrefois lui a été familier. Son cerveau doit chercher de lointains souvenirs presque effacés de sa mémoire. – Brekker ?... Lowell Brekker ! Pas effacés tant que ça finalement. Ce nom elle l’a jamais vraiment supprimé de sa tête, déjà trop remplies de millions de choses, mais ce nom resté, une certaine mélancolie attachée à celui-ci. – Thanks… You’re not so bad too. A l’instar de son interlocuteur, Via est le plus à l’aise, tel un coq en pâte. Il faut dire qu’avec son métier, elle a la tchatte facile. – I was waiting for you in the evening, why are you here so soon !? Elle a vu son nom sur son agenda, une heure, une adresse. Via songe qu’elle s’est trompée, ce qui serait vraiment exceptionnel. – Oh lord, it’s good to see you ! Heureuse de retrouver cet ami perdu, elle lui plaque un baiser sur la joue, y laissant malencontreusement une trace de rouge à l’emplacement du baiser. Un sourire accroché aux lèvres, Via prise de court ne semble pas le moins du monde perturbée
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Message() Sujet: Re: ten years after: a reunion [r/via] ten years after: a reunion [r/via] EmptyDim 17 Juin - 17:33

Perdre ses parents a été une étape cruciale de son fonctionnement, de sa vie actuelle, car Lowell, il n'est pas fait fort, il est au contraire très sentimentale et broie du noir pour un rien, certes, il se veut fort, il se veut sans embûches, contraires. Libre. Il ne s'attend pas à la surprendre, à ce qu'elle ouvre le porte pour s'apprêter à partir lorsqu'il souhaite entrer, et il le comprend, à la voir chargé de trucs qui débordent presque de son sac à main. Il se sent tout con l'espace d'un instant, se frottant la nuque en souriant. Elle clique, finalement, et son sourire augmente. - You remember me! La joie débordante est synonyme d'un secret loin enfouis dans sa conscience, celle du gamin à lunette débordant d'acné que personne n'osait aborder sauf pour lui demander de faire leur travaux de sciences, maths, langues, histoires, tout ça gratuitement, ou plutôt, avec une jolie menace qu'il se ferait cassé les dents. Via et Lowell remonte à loin en arrière, soit le jardin d'enfant, ensemble à jouer dans le bac à sable. Bien évidemment, la blonde lui parle du fait qu'il est très en avance, lui qui devait arrivé dans la soirée. Mais son vol a prit moins de temps que prévu, la correspondance se faisant d'un seul avion au lieu de deux, comme à la base. Ainsi, Lowell est arrivé avec environ huit heure d'avance sur son temps de base. Tant mieux, il pourrait poser bagages et se rendre à l'aéroport. Elle l'embrasse sur la joue juste comme il ouvre la bouche pour répondre, pour dire quelque chose. L'homme rougit quelque peu, ce n'est plus un gamin, il sait dorénavant retenir ses hormones. Un large sourire, il lui fait une douce étreinte, heureux de la savoir en santé, vivante, heureuse surtout, car le sourire qui déborde de ses lèvres à un aura de soleil accroché dessus. - Yeah, my flight went smoothly, so I'm here sooner, sorry about that, I couldn't wait any longuer. Couldn't wait to see you, to hold you, to see those eyes again. Il se retient de le lui dire à voix haute, que depuis son adolescence, il se voit avec elle, qu'il n'y a jamais eu qu'elle, que même dans ses exs petites-amies lui ont dit "you're in love with a ghost". Un fantôme, qui prend forme, qui est réalité. Car même si il la stalk sur les réseaux sociaux, aime ses photos de loin, la follow sans qu'elle ne le fasse en retour, ils ne sont pas revus depuis des années. Et maintenant, ils habiteront ensembles. - Also brought you macaroons and the unofficial book. Dit-il en lui tendant un sac contenant les deux items, car de un) Lowell n'a aucunement l'intention d'être présent lorsqu'elle lira le bouquin, de deux) il ne voulait pas rendre le manuscrit malpropre, duh, et de trois) de cette façon, l'odeur fabuleuse des macarons sera reflété sur le manuscrit et elle pourra sentir les odeurs du livre en le lisant. - I can come back again later, still need to re-activate my phone, go see my mate and see what the fuck they did while I was gone at the restaurant. Dernière tâche qui est sur sa bucket list de la journée et qui manque lui donner envie de pété un câble contre un palmier tout près avec une batte de baseball. Violent? À peine. Seulement, l'idée qu'on puisse compromettre ce pour quoi il a travailler depuis autant de temps, le rend nerveux et lui pose de sérieux problèmes.
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Message() Sujet: Re: ten years after: a reunion [r/via] ten years after: a reunion [r/via] EmptyMar 19 Juin - 11:21


La remarque de Lowell la fait rire. – Of course, I do ! Elle le prend dans ses bras aussitôt, c’est naturel pour elle, même si ce n’est pas habituel. Elle n’est pas tactile Via. Cela ne lui vient qu’avec Hedy la plupart du temps, mais Lowell, malgré leur perte de vue, Via en a gardé des réflexes, des manies qu’elle avait enfant, adolescente, jusqu’à l’entrée de l’université. Le prendre dans ses bras, lui semble évident, même le baiser plaqué sur sa joue. Un geste qu’elle fait habituellement avec Hedy, mais encore là, c’est Lowell et ce simple fait justifie tout. Le voir sourire, le voir heureux et surtout en pleine santé ravie la blonde qui agit comme si, ils ne s’étaient quittés que la veille. – Oooh You’re sweet ! I’m happy to see you, you don't have to be sorry ! Une main chaleureuse se pose sur l’épaule du jeune homme, Via laisse parler son corps, dans ses gestes, dans son regard, elle ne s’en rend pas vraiment compte à quel point Lowell a un effet sur elle. Positif, certes, mais inattendu en vue de la froideur de la solitaire en général. Alors qu’il lui tend le sac, Via l’attrape maladroitement, manquant de peu de le lâcher. Prise un peu au dépourvue, elle le regarde puis regarde le sac. Son regard va et vient entre les deux durant un moment avant qu’elle ne sente un peu de rouge monter aux joues. – You didn’t have to bring me something, you know… Elle attrape la boîte de petits gâteau et le logo lui serre le cœur. – Oh lord, you’re amazing… and crazy ! That’s so expensive, really you didn’t have to take me something. I find you, that’s my gift ! L’attention de Lowell la touche plus qu’elle ne le montre encore. Certes les macarons sont une sucrerie dont elle raffole en général, mais ce n’est pas ce cadeau qui la touche le plus. Etant dans le monde du livre depuis pas mal d’année, Via connait ce courage que font les auteurs en apportant leur premier script ou à l’envoyer. Elle a toujours eu de la peine d’émettre un refus, quand un auteur a pris son temps d’envoyer son œuvre avec un courage monstre. Via sort alors l’ensemble de feuilles reliées. – You print it ? Sa voix est montée d’une octave par la surprise et le choc. L’ouvrage est important, et cela a dû lui prendre énormément de temps à tout imprimer et relier et aussi beaucoup d’argent. – You know I would have been delighted to have your book  only in a usb key. Elle sautillerait presque la demoiselle quand elle plaque un second baiser, et une seconde trace de rouge sur la joue de Lowell. – No No, come in ! Elle s’écarte de la porte pour le laisser entrer, et surtout laisser Sun son berge blanc suisse faire la fête au nouveau venu. – This is Sun. M&m’s is somewhere, don’t be scared she’s a queen here, and sometimes she’s nice. A ce moment là un sifflement de mec qui aurait vu une belle nana résonne dans l’appartement. – And the new homie in town… Madhatter, a crazy stupid bird. Elle lance un regard assassin à l’oiseau qui lui répond par le même sifflement vulgaire. – My dad has a special humour… He thought to hear this whistle the morning make me happy because that would say I’m pretty… Pour accommoder son explication Via la ponctue d’un roulement de yeux exagéré. Elle ferme la porte en poussant la valise de Lowell de quelques centimètres. – You know what ? I’ll take my day off. Like that, we can go pass the day together. And, you can show me your restaurant… I never eat over there, I never found it in fact… Elle éclate de rire, et flatte son chien assis à ses pieds. – So… What do you think ? My car, … me… you… all the day ?
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Message() Sujet: Re: ten years after: a reunion [r/via] ten years after: a reunion [r/via] EmptyMer 20 Juin - 18:52


Et voilà qu'il a fait une nouvelle boulette, il n'a pas pensé à prendre une fichue clé usb. L'intelligence, ne mène pas loin de nos jours. L'homme est tout simplement bouche bée, n'en revient pas qu'elle soit aussi sociale, qu'elle ose le coller, l'embrasser - bien que ce soit sur la joue, l'adolescent en lui cri de bonheur - car ce comportement n'est pas amicale. À moins que, comme à son habitude, il se fasse des idées, ce qui ne serait pas nouveau en fait, que Lowell pense quelque chose qui ne l'est pas. Surtout avec Via, celle qui a été son amie d'enfance, qui l'est toujours, celle qui fait battre son coeur mais qui en même temps le réduit en un tas de poussière chaque fois qu'elle mentionne ô combien ils sont des amis importants, etc. Il manque tomber sur le sol quand elle l'embrasse de nouveau, le remerciant de ses cadeaux. Ce qu'elle ne sait pas, c'est que le pauvre manque tomber au sol de nervosité, il ne peut se retenir de sentir le malaise venir quand elle lirait le livre, quand elle verrait Lyle et Vera, les personnages principaux de son livre. Et une fois l'histoire commencé, elle comprendrait tout, ferait le lien entre les personnages et la vraie vie. Il panique, un peu trop tôt, car elle n'a pas commencé sa lecture, bien heureusement. - It's not every day you get to go to Paris and eat Ladurée's macaroon, ok. I'm happy you like it then. Il sourit, maladroit, se frottant la nuque, surtout lorsqu'elle lui fait par de la clé USB. Une nouvelle fois, il est tellement con, stupide. - I thought you book lovers prefered the physical version for smell and stuff. Il sourit nerveusement, continuant de parler alors que visiblement il devrait fermer la bouche, Lowell. Lui qui est pourtant si confiant en cuisine, perd les pédales quand il se retrouve devant son amie d'enfance pour qui il a toujours été amoureux. Visiblement, il a besoin des conseils de Castiel en matière de femme. Lui, le chef qui cherche à impressionner des femmes avec ses plats - ouais, son ami même dans un avion lui envoie des textos pour parler de sa vie privée et de quel plat il doit faire pour impressionner la nana sur qui il a des vues, que, d'ailleurs, Lowell a googler et a réalisé qu'il connaît depuis l'enfance, drôle de coïncidence, il ne l'a pas encore texter, ça ne saurait que venir. Via l'invite à l'intérieur, et l'homme qui résidera chez elle - en réalité, il aurait pu se permettre un appartement seul, mais, disons que ce plan de Castiel est très bon, il pourra ainsi la surveiller tous les jours, voir ses fréquentations, la rendre accro à sa présence. Oui, son ami est un peu, spécial, rien qu'on ne peut pas aimé, certes. Lowell entre donc, le chien venant lui dire bonjour. Apparemment, elle n'est pas très sociale, mais a une tonne d'animaux pour compenser ce manque ou plutôt ce mode de vie. - Sometimes? Should I be scared for my... package down there? Il sourit et caresse la tête du chien - Sun - devant lui, observant l'appartement. Le cri vulgaire de l'oiseau le dérange, il écarquille les yeux et manque avoir une attaque cardiaque devant son impolitesse. - How in the world could your dad and mine be friends? Oh my god. Il se met à rire, car, après tout, la blague est légèrement drôle, mais plutôt vulgaire quoi. Via parle de prendre la journée off pour la passer avec lui, et un large sourire, des yeux pétillants et une tête pleine d'idée, remplissent Lowell qui devient surexcité à cette perspective. - I would love to! But hum, I thought you didn't drove- oh. I will drive. Il se met à rire, regardant la demoiselle et baissant la tête pour voir ce qui lui porte. Ringard, pas capable de bien s'habiller. Et merde. - I'll text Cas and we're going baby! So get your stuff. Lui qui revient de Paris est déjà prêt à revivre l'aventure une nouvelle fois. Il prend une minute pour envoyez un "Dude, clean the whole fucking place, Via is coming. Don't ruin it for me, or I'll cockblock the fuck out of you mate." Finalement, il se retourne vers Via avec un très large sourire. - So, you give the keys or what? Un large sourire sur son visage il fait un clin d'oeil, gagnant de confiance.
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